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REGARD SUR LES CODES. CULTURELS FRANÇAIS 
ET CORÉENS

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Jeudi 
10 MARS 

18h30 TNB

- Par Georges Arsenijevic (conseiller culturel au Centre Culturel Coréen)

- & Bastian Meiresonne (directeur artistique du Festival International des Cinémas d’Asie)

 

En partenariat avec le Centre Culturel Coréen.

Entrée gratuite et accès libre. 

Georges Arsenijevic est conseiller culturel au Centre Culturel Coréen depuis 1986. Passionné par ce pays, il est également l’auteur du livre Mes Coréens, 35 années de rencontres et d’amitié paru en 2019. Sa conférence, présentée lors de nombreux festivals cinématographiques asiatiques, vous permettra de découvrir ou redécouvrir la culture coréenne qui reste encore trop peu connue en France. Vous aurez l’occasion d’en savoir plus sur les différences de mentalités et les différences comportementales entre les Français et les Coréens. Que vous ayez vu des centaines d'œuvres cinématographiques coréennes ou que vous les découvriez lors de notre festival, Regard sur les codes culturels français et coréen est la conférence pour comprendre les Coréens ! 

Georges Arsenijevic (crédit : Bruno Grandjean) et son livre "Mes Coréens, 35 années de rencontres et d’amitié", l’Asiathèque (2019)

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Bastian Meiresonne (crédit : Miguel Bueno)

18h TNB

 LES FEMMES DANS LA  SOCIÉTÉ ET LE CINÉMA  SUD CORÉEN

Par Marion Gilbert, auteure de la thèse en sociologie Résister à l'hétérosexualité en Corée du Sud : parcours genrées de femmes queer entre elles (depuis 2016)

Entrée gratuite et accès libre. 

L’équipe du festival est fière de vous proposer une conférence de Marion Gilbert sur les femmes dans le cinéma sud-coréen au fil du XXe et XXIe siècle au regard de la condition de leurs droits dans la société.

 

Depuis ses débuts et jusqu’au tournant du XXIe siècle, le cinéma sud-coréen s’est construit par la littérature engagée dont l’idéal absolu est l’enseignement. Durant la colonisation japonaise, le cinéma utilise l’image féminine afin de faire passer des messages contre le colonisateur, alors que dans les années 1960, les films tels que Chayu Puin (Madame liberté, 1956) de Han Hyeong-mo parlent d’émancipation. Viennent ensuite les années 90 et la suppression de la censure qui permet aux réalisateurs indépendants de se lancer dans la comédie romantique, comme le fait Lee Myeong-se dans Mon amour, mon épouse (1990). À cette même époque de début de démocratisation, les femmes discutent des termes qui concernent leur sexualité à la conférence de l’association des études sur les femmes coréennes. Les prémisses des luttes par les femmes contre les violences sexuelles ont été possibles car elles prenaient place à un moment où l’amour libre devient de moins en moins tabou. L’histoire des femmes dans le cinéma est donc liée à l’ancrage de la production cinématographique dans la société. La question à laquelle nous tenterons finalement de répondre est donc : quelle place reste-t-il aux lesbiennes dans le cinéma sud-coréen si elles sont socialement invisibles en raison de l’homophobie latente ?

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Vendredi 
11 MARS 

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Marion Gilbert 

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Représentation de danse traditionnelle sur l'île de Jeju (crédit : Marion Gilbert)

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